Artisan Du Mois Avec Candace Lipischak
November 16, 2021
"De mettre l'énergie et l'amour dans leur travail avec leur passion ces pièces devinées même plus valide."
Premières années
Candace Lipischak est débordé de créations. Propriétaire de Fat Daug, une bijoutière de ramures et artiste visuel indépendant, Lipischak savait d'un jeune âge qu'elle voulait travailler avec ses mains. Grandir à Saint Vital et plus tard Île-des-Chênes, elle était immergée dans le style de vie créative. Sa mère cousit et bordé les vêtements de sa famille, son père a sculpté et même sa sœur avait un côté artistique.
Comme petite fille, l'amour que Lipischak avait pour l'art a continué à grandir. Elle a soumis plusieurs travaux pour des concours et a gagné quelque un. Le concours le plus mémorable était celui de ParicipACTION avec un thème de santé physique.
« Je me souviens parce que j'ai fait le dessein avec les marqueurs en couleurs. Ce médium n'était pas accepté, alors il fallait refaire le dessin en crayons de bois, puis j'ai gagné. » Raconte Lipischak.
Lipischak se souvient de l'intensité qu'elle avait travaillée pour ce projet. Elle avait toujours l'intérêt dans les sports et d'autres activités, mais gagner le concours a contribuer à démarré le vouloir de faire l'art.
« C'était fun de gagner », dit-elle.
Par contre, ce n'est pas lorsqu'elle a déménagé à Otterburne que Lipischak a commencé sa carrière. Ça fait seulement six ans qu'elle a démarré son parcours comme artiste, mais elle se sent comme ça faite toute sa vie.
Lipischak a attendu l'inspiration après avoir disposé de son satellite. Avec moins de distractions comme l'internet et la Télé, Lipischak se trouvait dehors plus souvent. Elle a trouvé par hasard une abondance de déchet sur le bord de la rivière, le montant de déchet la faisait mal au cœur. Elle a décrit la scène des plantes qui grandissaient entre les vieilles canes, les chaînes et les moteurs tombent en peine, mère Nature travaillait fort pour récupérer sa terre. Lipischak a commencé une collection de déchets trouver dans la nature. Pendant son temps libre, elle les mettait ensemble.
« Tout à coup, je crée des sculptures. » Dit-elle.
Comme artiste
Les idées pour sculpture venaient des objets collectés.
« Il y a toujours quelque chose dans un morceau qui m'encourage [à l'utiliser] » dit-elle.
Par exemple, un de ces travaux récents a été inspiré d'un couvercle de baril d'huile rouillé à travers. Le mélange de couleurs, les taches plus foncées la faisaient penser au cent brune - celle qu'elle a grandie avec quand ça valait quelque chose.
Lipischak raconte de bons souvenirs, « si tu as collectionné assez, tu pouvais acheter une barre de chocolat. »
Alors que la cenne brune n'est plus en circulation, créer cette pièce inspirer par la pièce de monnaie permettait à Lipischak de rendez hommage à la valeur il portait pendant son enfance.
Chaque pièce a une histoire. Avoir du symbolisme et une signification représentés dans ces œuvres est très important pour l'artiste. Chaque aspect de ses peintures et sculptures était l'objet d'une réflexion.
Sa pièce de Louis Riel, créer sur une peau tannée soulignait non seulement l'importance du fondeur du Manitoba, mais démontrait aussi l'intensité de travailler avec le cuir. Le travail démontré le perlage métissé, représenter à travers le pointillisme, l'importance culturelle d'utiliser l'animal en entier - représenter par la fourrure autour du collier de Riel.
Lipischak essaie d'avoir du symbolisme et une signification ou histoire à travers toutes ces œuvres.
« Ça [le symbolisme] peut être très simple ou très compliqué », dit-elle.
Elle tient également à inclure le francomichif dans ses titres. Représenter sa culture française métisse la remporte la fierté. Enfin, c'est le public qui interprète son art comme ils veulent et donne du sens à l'œuvre.
Travailler comme artiste n'était pas toujours facile pour Lipischak. Les conditions étaient affreuses au début. Lorsqu'elle travaillait sur une de ses sculptures, le besoin et détermination de terminer ce projet était le facteur déterminant qui l'a poussé au studio.
L'espace de travail, situé dans le garage, n'était pas idéal. L'espace était froid, la lumière épouvantable, il y avait une seule ampoule pendre du plafond. Tous les jours, elle construisait un feu tôt le matin, quatre heures plus tard elle pouvait retourner et le garage serait assez chaud pour finalement travailler. Même si l'espace manquait, Lipischak n'a jamais arrêté de travailler.
Elle était vraiment « gung-ho » pour ce projet, rien ne l'arrêtait, « il fallait que je le crée. »
Depuis, Lipischak a actualisé son espace de travail. Elle continue de collectionner les objets jetés pour donner une nouvelle vie. Ses pièces les plus fréquentes sont les peintures sur les couvercles de bocaux. L'œuvre est contenue en elle-même avec l'image peinturée sur le couvercle et l'anneau comme l'encadrement. Ses produits finals donnent un nouveau sens à la phrase, les ordures d'un homme sont le trésor d'un autre.
Fat Daug
Fat Daug est non seulement une entreprise, mais représente la connexion entre Lipischak et sa famille. Le nom représenté Father Daughter, puisqu'elle trouve, il y a de l'importance dans le symbolisme.
Lipischak adore le nom choisi, Fat Daug, « Ça poignait vite et je le trouve un peu drôle » dit-elle.
Fat Daug est vraiment une entreprise familiale, tout le monde a contribué à son succès d'une manière ou autre. En termes de la création, ses Candace et son père qui sculptent les bois. Sa mère, ils les appellent Mo (Mau) Daug, sont impliqués dans la vente des produits. Elle est présente à toutes les marches toujours avec beaucoup d'énergie. Lipischak est fière d'appeler sa mère une partenaire.
Fat Daug était inspiré d'un cadeau de boucle d'oreille sculpté de bois que son père la donne. Les boucles d'oreille étaient délicates, mais solides. Elle recevait plusieurs compliments chaque fois qu'elle les portait.
Elle se demandait combien difficile le processus serait pour fabriquer ses propres pendentifs. Elle a demandé à son père de la montre comment utiliser les machines. C'est l'occasion parfaite pour Lipischak de développer des talents artistiques et de créer un produit à bas prix. Elle pouvait utiliser les machines de son père et était déjà en possession de ramure il fallait seulement commencer. Cette première pièce qu'elle a créée à donner le coup d'envoi à l'entreprise retrouver aujourd'hui. Bien que l'odeur des bois soit rebutante, elle s'est sentie proche du médium.
« C'était organique. C'était proche à nous autres [les ramures] était fait de l'orignal qu'il [son père] avait chassé pour nous pour la viande. »
Au lieu d'afficher les bois de cerf au mur en souvenir de son grand-père qui chassait pour sa famille, pourquoi ne pas utiliser un morceau et porter ce souvenir près de son cœur. Plusieurs personnes s'inquiètent que l'animal fût chassé pour ses bois seulement. Mais Fat Daug assure que chaque pendentif est sculpté de bois donner ; même le cuir utiliser vient des animaux cultivés pour la nourriture.
« Pour nous, c'est très important d'utiliser chaque partie de l'animal » dit Lipischak.
Ça fait partie de la culture métisse de ne pas gaspiller un animal sacrificiel. D'éduquer les gens de ce sujet aient raison additionnelle que Lipischak voulait démarrer Fat Daug.
Ses dernières créations incorporent la médecine : les ramures sculptées ont un morceau de cuir tanné avec le perlage et de la médecine au milieu d'une poche. Le mélange du perlage, bois, médecine et cuir est spécial pour Lipischak, car la conception incorpore plusieurs aspects métis. C'est une façon créative de porter les médecines proches sans d'avoir besoin de porter un sac à la taille.
Les réponses à ces pendentifs neufs étaient complément positif.
« J'ai eu des gens qui ont réagi très fortement à nos pièces il sent l'énergie, la protection, grounded avec mère Nature. Ils ont besoin de ça dans ce temps-ci, » dit-elle.
Bien que les nouveaux pendentifs de médecine soient ses préférés, ses premières boucles de plumes présentées par son père tiendront toujours une place spéciale au cœur. Les plumes étaient les derniers bouts de ces premiers bois, il sert comme rappelle à quel point l'entreprise a développé.
Sans un édifice, Fat Daug est chanceuse d'être acceptée par WAG@The Forks pour vendre ses produits.
« C'était une confirmation que j'ai fait une bonne chose en commençant Fat Daug, »
En plus de participer à de nombreuses marches, Fat Daug peut être trouvé à Winnipeg Folk Festival, Festival du Voyageur et plus. Chaque événement a une variété de personnes avec des styles différents qui veulent des bijoux différents. De plus, il y a plusieurs entreprises qui demandent ses produits.
« Je n'ai pas de moyenne de faire ses pièces et je n'ai pas assez de temps. J'aimerais donner aux boutiques mes pièces à vendre, mais j'ai la misère à faire cela avec mes deux mains. » Dis Lipischak.
Avec une entreprise qui grandit constamment, Lipischak aimerait avoir une protégée. Idéalement, elle aimerait enseigner à une jeune femme métisse qui aimerait commencer dans ce domaine. C'est rare de voir une femme qui sculpte les bois, même de ce jour-ci. Il y en a encore qui croient que c'est le père de Lipischak qui coupe les morceaux et utilise les machines. Son père croyait en elle et en ses capacités et Lipischak aimerait donner à une jeune fille la même confiance. L'art créé par les femmes métisses n'en a pas besoin d'être seulement le perlage ou la couture. Lipischak veuille encourager les femmes a sortir de ces rôles traditionnels et s'engager dans des domaines varies, de prendre en charge des projets qui requises des muscles et l'usage des machines.
Appuyez les femmes et les femmes métisses sont essentielles pour Lipischak. « Il y a une bonne force quand ça vient aux femmes métisses, la passion aussi »
Les Temps difficiles
Comme plusieurs connaissent, les années passées on était très difficiles pour les entreprises. La fermeture des magasins a rendu la vente des produits plus difficile. Par contre, ces obstacles n'ont pas affecté Fat Daug ni Lipischak comme artiste.
« C'est bizarre, mais j'en ai vendu plus. » explique-t-elle
Depuis qu'elle est artiste, Lipischak n'a jamais été aussi occupée dans les deux sens de sa carrière. L'abondance de commandes est survenue après qu'un inconnu l'a ajoutée à une page Facebook destinée aux femmes autochtones entrepreneurs du monde entier. La page a augmenté sa reconnaissance tout en créer un sens de communauté entre femmes.
La volonté d'acheter locale pendant le Pendamic a aidé à Lipishcak aussi. « Je suis très reconnaissante au public de nous avoir appuyés à ce jour. C'est très positif, les clients qui reviennent pour acheter d'autres pièces. »
En outre d'appui du public, Lipischak a reçu de l'aide de la Fédération métisse du Manitoba (FMM) ces années passées.
Avec la FMM
Comme toute bonne chose, travailler avec la FMM était un coup de chance extraordinaire.
En 2019, Lipischak a eu l'occasion de présenter son travail à l'Assemble Generale annuel. Elle a présenté de fourre-tout que l'individuel pouvait colorer. Le motif, ça lui est venu lorsqu'une compagnie la rapprocher pour des sacs réutilisables qui représentaient l'Histoire du Manitoba. En s'inspirant de Picasso, les sacs de papier artisan étaient nés.
Les sacs, créés par le papier artisan fourni à The Pas, représenté plus qu'une vente simple. Le motif pointillisme encouragé est basé sur les travaux du perlage. En utilisant les marqueurs, ceux et celle qui sont incapables de tenir une aiguille peuvent représenter leur culture métisse.
« Ça m'a fait chaud au cœur que les membres aient pu faire une activité et apprendre un peu à propos une différente façon de partager le perlage, avec la peinture, ou les marqueurs » dits Lipischak.
La commande de la FMM est la plus grande qu'elle n'ait jamais reçue. Grâce à cette occasion, Lipischak a pu rénover son espace de travail et a pu acheter des outils nécessaires pour compléter son espace.
Dès le début, la FMM a travaillé avec Lipischak. Le Societer Capital de Louis Riel la aidé comme artiste et entrepreneur. La FMM était là pour échanger les idées et d'aider à faire la publicitation pour son art. Même avant de commencer Fat Daug, Lipischak a reçu du travail de la FMM pour ses services graphiques.
« Dès le début de ma carrière, la FMM m'a aidé, » dit-elle - c'est une relation qu'elle aimerait continuer.
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